Entreprenariat : la spécialiste en coaching Sylvie Brémond Mookherjee dévoile les secrets de la réussite

à la une Actualité

On peut tirer son épingle du jeu et réussir dans l’entreprenariat, malgré le contexte difficile. En effet, dans son livre publié aux Editions Harmattan, et  intitulé : «Savoir-innover: L’attitude innovation pour s’adapter au monde qui change», Sylvie Brémond Mookherjee propose quatre secrets de réussite professionnelle qui tournent autour de l’adaptation et de l’innonvation. Elle cite Charles Darwin: «Ceux qui réussissent ne sont pas les plus forts, mais ceux qui savent s’adapter»

Usant de la métaphore, Sylvie Mookherjee déclare: «Il n’y a qu’une chose qui ne change pas, c’est que le monde change en permanenceDans une société volatile, incertaine, complexe, ambigüe (Vica), il faut qu’on adapte notre logiciel tout comme l’ordinateur». «Il faut aussi s’adapter avec l’intelligence des émotions, c’est-à-dire se connaître soi et les autres, s’adapter aux autres à travers la persévérance, l’empathie, la créativitéIl faut de l’intelligence créative pour faire face à la destruction», poursuit-elle ajoutant que cette intelligence de la créativité, on l’a naturellement ou pas. Mais elle rassure en indiquant qu’on peut la développer en coaching.

«Penser positif donne une certaine force. Il faut provoquer la chance pour avoir la chance», explique-t-elle ajoutant qu’il y a beaucoup de choses qui sont dans la culture sénégalaise et qui sont utiles dans le coaching pour l’innovation tels que la collaboration, la solidarité familiale, les amis, etc.

«Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin», philosophe l’auteure. Elle déconseille d’être défaitiste. Elle affirme que si on est pessimiste, on ne va pas innover par manque de moyens, de temps. La solution selon elle, c’est de rester ouvert, travailler sur des solutions, gérer l’environnement, les autres et soi-même. «Croire en sa chance fait partie d’une vision positive pour réussir. Si on est défaitiste, on va rester dans un système de spirale, on va se sentir improductif victime des autres», souligne l’auteure.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *