L’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (Ansts) a organisé la première rencontre des réunions du comité régional du Conseil international des sciences (Cis) et le bureau régional pour l’Afrique au Sénégal, ce vendredi, sur le thème: “l’intelligence artificielle”, “les technologies innovantes et émergentes; un changement de paradigme dans la pratique de la science contemporain en Afrique”.
“L’objectif de cette rencontre, c’est de rassembler les membres du comité régional. Mais également de discuter avec l’ensemble de la communauté scientifique nationale sur un certain nombre de sujets, et en particulier sur la technologie, l’innovation et l’intelligence artificielle. Il s’agit de faire l’état des lieux des scientifiques qui sont intéressés par le thème, de voir les progrès réalisés et d’envisager les perspectives qu’il faut offrir aux Africains”, explique le professeur Doudou Ba, président de l’Ansts.
Selon lui, cette rencontre est une occasion pour voir comment le Sénégal peut contribuer au développement de la science, la technologie et de l’innovation.
Sur ce, M. Ba soutient que les opportunités de la science sont diverses et nombreux. “La science s’applique à tous les domaines. Tels que la santé, l’agriculture, les transports qui utilisent beaucoup les technologies pour pouvoir progresser. Elle aide aussi l’homme dans ces différentes tâches. Par exemple, la machine remplace l’homme pour exécuter ses tâches”.
Le conseil international de la science regroupe tous les scientifiques du monde pour parler des questions liées à la science et de la nécessité de mieux intégrer les connaissances dans la prise de décisions en Afrique.
